Toujours soucieux d’assurer les meilleurs services, le Centre Georges Charpak se dote du Biograph Vision 450.
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Cet appareil de tomographie par émission de positons couplé à un scanner (TEP/CT), entièrement numérique améliore la qualité des images captées et le fait bien plus rapidement.
Le label LABELIX et la certification ISO 9001 valident les efforts permanents des équipes du centre pour s’assurer de la qualité des examens et du bien-être de leurs patients.
L’équipe du Centre Georges Charpak est fière d’être labellisée et certifiée LABELIX et ISO 9001.
Docteur G.P. FONTAINE – Docteur F. SALMON – Docteur D. GOULON
Après 3 ans d’activité, l’équipe du CGC rentre dans une phase de maturité. L’arrivée d’un troisième médecin a permis de faire face à l’accroissement d’activité mais rend maintenant l’acquisition d’une nouvelle machine indispensable. Aussi, l’ARS a-t-elle autorisé un nouvel équipement TEP au GCS qui a conduit au dépôt d’un permis de construire. Ce nouvel équipement devrait être opérationnel au premier semestre 2021 et permettra de répondre aux besoins des patients du territoire.
La démarche Qualité est au coeur du fonctionnement du CGC et constitue le mode de gouvernance principal. L’équipe du CGC a co-organisé un séminaire français « Qualité et Sécurité en Médecine Nucléaire » en Mai 2019 pour que les différents centres d’imagerie nucléaire puissent partager et échanger leur savoir-faire et leur expérience. Cet évènement s’est avéré très précieux et productif pour chacun des participants.
La prise en charge des urgences vitales est une priorité au CGC et l’ensemble du personnel a de nouveau bénéficié d’une formation en équipe par simulation in situ aux situations de détresse vitale en 2019. Tous ces efforts quotidiens pour améliorer la Qualité et la Sécurité feront l’objet d’une demande de certification ISO9001 prévue début 2020.
Très engagée dans la radioprotection des patients comme des travailleurs, l’équipe du CGC a noué un partenariat avec l’entreprise Icohup afin d’optimiser la dosimétrie d’ambiance dans l’ensemble des points stratégiques du service. Cette collaboration a fait l’objet d’une communication orale et écrite. D’autres projets sont en cours.
Toutes ces perspectives et ces projets permettront d’honorer les engagements de l’ensemble de l’équipe auprès des patients et des prescripteurs, pour un service rendu optimal.
Docteur Georges-Philippe Fontaine
Le centre de médecine nucléaire Georges Charpak et les docteurs G.P. FONTAINE et E. GREMILLET organisent pour la seconde édition du séminaire “Les journées de la Baule”, sur la qualité et la sécurité en médecine nucléaire.
Vous pourrez retrouver toutes les informations sur l’événement sur le site dédié : journees-de-la-baule.fr
La qualité est un atout primordial au bon développement de la radiologie.
Le label LABELIX est le mode officiel de reconnaissance de la qualité des prestations des cabinets et services d’imagerie médicale.
Toute l’équipe du Centre Georges Charpak est extrêmement fière d’être labellisée par le référentiel LABELIX.
La première version de ce “capteur de rayonnements ionisants gamma et X” est utilisée par les CHU de Bordeaux, Limoges et Clermont-Ferrand, ainsi qu’au centre de médecine nucléaire Georges-Charpak à Quimper, a précisé le responsable d’Icohup à APMnews(site du groupe d’information APM International, dont fait partie TecHopital).
Connecté en Bluetooth, Wifi, 3G/4G ou à un réseau filaire Ethernet ou USB, il sert à la fois de dosimètre et de spectromètre pour mesurer le débit de dose radioactive reçue et identifier le rayonnement. Il transmet en temps réel les informations collectées dans son environnement sur une application web proposée par Icohup en mode SaaS (Software as a Service), qui peut être consultée par les chefs de service, les personnes compétentes en radioprotection (PCR) ou les professionnels eux-mêmes, aux choix de l’établissement. La plateforme garde l’historique des données pour mieux comprendre les incidents. Il génère également des alertes automatiques en cas de dépassement de seuil. Doté d’une autonomie de 15 heures, il se recharge sur le secteur ou via USB. Les dosimètres actuellement utilisés dans les centres de médecine nucléaire, de radiothérapie ou dans les services de radiologie “ne sont pas du tout connectés”, ce qui conduit parfois à des délais de “plusieurs heures ou plusieurs jours” pour être alerté en cas de surexposition, a observé Louis Moreau, doctorant en sécurité informatique. Ils se rechargent sur des bornes “parfois installées dans les couloirs et accessibles à tous”, constituant autant de potentielles “failles de sécurité”.
La première version de Rium 1, un peu plus grande qu’un téléphone portable, est pour l’instant utilisée dans les établissements de santé comme “dosimètre d’ambiance”. Apposé dans certaines salles de l’hôpital, il mesure en temps réel un niveau de radiation par pièce. “Cela peut être dans une chambre ou dans une salle d’attente pour repérer un rayonnement inhabituel et prévenir les usagers”, a cité Louis Moreau à titre d’exemple. “Nous souhaitions pouvoir cartographier en temps réel le niveau d’exposition et les flux de radioactivité au sein du centre de médecine nucléaire”, a expliqué Cyril Leleu, physicien médical et PCR au centre Georges-Charpak de Quimper, interrogé par TecHopital. “Le détecteur Rium propose une solution innovante et robuste. Par sa fonction spectrométrie, c’est également un excellent outil de caractérisation des déchets radioactifs pour les gammes d’énergie utilisées en médecine nucléaire et il sécurise notre processus de gestion des déchets”, a-t-il détaillé. Le dosimètre connecté permet en effet de cartographier un site ou un bâtiment en temps réel et transmet une alerte en cas de dépassement significatif. Sa fonction spectrométrie permet de renseigner le PCR sur le type de rayonnement à laquelle l’agent est exposé. “Le dosimètre est calibré sur 6 radionucléides (uranium, césium 137, fluor 18, iridium 11, gallium, technétium), les plus courants en radioprotection”, a fait remarquer le physicien. Aussi performant que les autres dosimètres, “son seul point négatif est qu’il sature vite: à 100 µSv”. Mais “comme ce sont les dépassements de doses qui nous intéresse, donc cette limite ne pose pas de problème”, précise le physicien. Enfin, il remplace les dosimètres classiques soit “en point fixe pour une cartographie des lieux”, soit “en manuel pour chercher des sources”, soit “pour des études de poste”.
A noter par ailleurs, que l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a collaboré à la mise au point de ce “compteur Geiger moderne” qui est breveté.
Cette deuxième année de fonctionnement du GCS TEP Cornouaille a confirmé la montée en charge de l’activité. L’exploitation de la machine TEP Public/Privé a parfaitement répondu aux besoins des patients et des équipes médicales du Finistère Sud. La volonté des équipes publiques et privées est de continuer à coopérer pour offrir les meilleures garanties de sécurité et de qualité aux patients du territoire.
Le Centre Georges Charpak s’intègre donc parfaitement dans le parcours de soin des patients et contribue à améliorer et à accélérer notablement leur prise en charge.
De nombreux défis restent à relever : poursuite de la démarche Qualité au sein du Centre Georges Charpak, accueil d’un nouveau médecin, absorption de l’augmentation de l’activité…
Projet sélectionné dans la catégorie Accueillir
Visite le lundi 1er avril 2019 à 18h
Livré en janvier 2017, le Centre de diagnostic de médecine nucléaire Georges Charpak exprime, par son langage architectural unique et épuré, une nouvelle adresse et une entité indépendante sur le site de l’hôpital de Quimper. Le bâtiment se révèle depuis l’avenue Yves Thépot sous la forme d’un parallélépipède posé sur pilotis aux lignes résolument contemporaines et par ses matériaux de construction volontairement dévoilés.
Sélectionné dans la catégorie Accueillir du PAeB 2018, la MAeB vous convie à une visite guidée de ce bâtiment en présence de l’agence AIA Architectes et des équipes du Centre.
Le Prix Architecture espaces Bretagne (PAeB) récompense des projets d’architecture et d’aménagements urbains et/ou paysagers exemplaires, reflets de la vitalité, de la qualité et de l’innovation de l’architecture contemporaine en Bretagne.
Plus d’informations sur le projet architectural dans le catalogue du PAeB 2018, catégorie Accueillir.